A Colembert, comme dans beaucoup d’autres villages, les cafés faisaient partie des centres de vie de la commune. Les villageois aimaient s’y retrouver, notamment le dimanche après l’office.

 

Le café restaurant BOULET-LECOMTE se trouvait à l’intersection de la rue principale et de la rue du Blanc-Mont.

 

Ce bâtiment permettait d’accueillir et de loger les voyageurs Il possédait une remise et une écurie où on abritait les chevaux.
Après 1945, ce café changea de main et devint le café TOM.
Dans les années 50, M. et Mme LEFEBVRE prirent le relais, en accompagnant leur commerce de vente de charbons et de grains.

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En face du café BOULET-LECOMTE se trouvait en 1900 la boulangerie et buvette de M. et Mme FOURCROY JOLY, appelée La Targette.

Ce commerce sera ensuite tenu par M. COMPIEGNE.
  •  Sur la route du Blanc-Mont où se trouve l’actuelle Poste, était installé le café BAUDE dans les années 50. On y vendait aussi de l’essence.
  • Sur la route principale, avant les années 50 jusque 1967, le café, débitant de tabac de Mme Berthe THUILLIER accueillait également les villageois. Certains se souviennent encore aujourd’hui de cette personne qui avait toujours le mot pour rire et un grand sens de l’humour. A cette époque, les enfants aimaient s’y retrouver pour boire une limonade et  manger des caramels.

 

 

Plus bas, le café de la Mairie était tenu par Mme SGARD en 1880, plus tard par M. et Mme COSTEUX FOURCROY.

En 1967, Mauricette et Joël SERGEANT continuèrent la profession et y développèrent en plus l’activité d’alimentation en 1972 par le biais de la COOP (Coopérative des Flandres et d’Artois).

Une pompe à essence était également mise à la disposition des automobilistes.

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  • Dans les années 50, une coopérative dite COOP se situait dans la maison qui se trouve en face du nouveau cimetière ; elle était tenue par Mme MARTIN. Les villageois venaient chez elle faire leurs courses, à pieds ou sur un vélo auquel ils attachaient un panier en osier.
  • Avant la guerre était installé à Colembert entre la Campésina et la route principale un négociant en alcool, M. MAFFRANT FAYEULLE. Pendant la guerre, M. François FAYEULLE prit le relais avant de passer la main à son beau-fils, M. TRAMCOURT.
  • La boucherie BOUCLET était installée dans la dernière maison sur la route nationale avant la forêt. L’activité fut reprise plus tard par M. et Mme ROUSSEL FOSSEUX.
  • La boucherie DUCHATEAU se situait dans la rue des Fonds d’Henneveux, au niveau de la 1ère maison à droite.
  • Le cordonnier  M. MARTIN (beau-père de M. BAUDE, qui tenait le café où se trouve La Poste actuelle)s’était d’abord installé dans le garage de La Poste avant de  s’établir sur la plac,e à côté du café de Mme Berthe THUILLIER.
  • En haut du Plouy sur la droite avant la forêt était également installé un cordonnier, M. NORMAND. Il déménagea plus tard sur la route d’Alembon.
  • Sur la route du Plouy, M. Camille RAULT tenait une buvette en plus de son activité de maréchal ferrant.
  • Mme ROUSSEL tenait un commerce de vente de charbon après la guerre dans la rue des Etronquis, au Plouy. A sa retraite, elle céda son activité à M. LEFEBVRE.
  • Dans la commune du Plouy, sur l’ancienne route nationale, le café MARCOTTE était déjà en activité pendant les années 30. Il était tenu par la mère de Maurice MARCOTTE, bourrelier. Ce dernier a ensuite repris le commerce en plus de son activité.