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Maurice MARCOTTE en train de
travailler le cuir.
 

Maurice MARCOTTE installa son atelier de bourrelier sur la route du Plouy avant la guerre, à côté du café qu’il tenait et qu’il avait repris de sa mère.

Il y travailla le cuir jusqu’à sa retraite qu’il prit vers le milieu des années 60.

Ce travail nécessitait l’utilisation de nombreux outils fabriqués par le forgeron.

Pour faire des trous dans le cuir, M. MARCOTTE utilisait des emporte-pièces sur lesquels il tapait avec un maillet en bois.

Ses autres outils étaient le couteau à pied, le couteau mécanique pour découper les bandes de cuir, les alênes pour percer le cuir avant de coudre, les ciseaux, les poinçons, la cornette…

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Maurice MARCOTTE avec un collier à
cheval qu’il a fabriqué.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il fabriquait et réparait les harnais des chevaux, très nombreux à cette époque dans les fermes. Tout était en cuir : selles, brides, colliers, rênes, licols, etc.

Pour mettre en œuvre son savoir-faire, il portait toujours son grand tablier de bourrelier.

En plus de cette activité, il confectionnait des matelas et des sommiers ; Il réparait également des toiles de lieuses.